Sexage des plantes

PULSALYS



23 Mai 2018

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Domaines

Biologie / Santé

Secteurs

Chimie, Matériaux & Produits Alimentaires

Une méthodologie statistique sur la transmission des allèles des parents à la première génération (F1) permet d’identifier des gènes liés au sexe. Ces gènes peuvent ensuite être utilisés comme biomarqueurs génétiques pour sexer des individus.

Sachant que 20% des plantes cultivées sont dioïques (c’est-à-dire avec des sexes séparés), et que chez ces plantes, un seul sexe est généralement utile d'un point de vue agronomique, la technologie proposée s’annonce d’un intérêt majeur sur le volet agro-économique. Par exemple, seules les femelles palmier-dattier produisent des dattes, et le démarrage d’une nouvelle palmeraie exige un délai de 7 ans après la plantation des palmiers afin qu'ils atteignent leur maturité sexuelle et qu’il soit possible de distinguer sans ambigüité les arbres mâles et femelles. 50% des arbres (mâles) sont alors abattus avec des pertes importantes.

Le sexage précoce des plantes permettrait de sexer très tôt et de ne cultiver que les plantules d’intérêt (économie de ressource eau/nutriment, terrain, main d’œuvre…).

PULSALYS recherche

des partenaires industriels pour identifier les plantes pour lesquelles le sexage précoce permettrait de faire des économies de développement.

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